Mercredi 31 octobre 2007 à 22:22

Nice, le vendredi 2 novembre

Concours international junior de flûte Maxence Larrieu


Ch0u.Fleur.cowblog.fr ,

deuxième prix
et prix spécial d'interprétation.

*   *


Ce n'est pas rien.

Mercredi 31 octobre 2007 à 11:20

Comme promis, voici les chiffres du mois écoulé. La baisse du nombre de blogs répertoriés continue, mais à un rythme moins soutenu. Il est même arrivé parfois que d'un jour à l'autre le nombre total des blogs augmente de quelques unités, sans que pour autant la tendance s'inverse dans la durée.

Nombre total des blogs figurant au répertoire :

30 août :             19357
30 septembre :    17859
31 octobre :         17037


Le 30 octobre, par ordre d'ancienneté, la population de Cowblog se répartit de la manière suivante :

- Blogs créés avant le 1er octobre 2006 (un an ou plus) : 2975 (17,5 %) ;
- Blogs créés entre le 1er octobre 2006 et le 30 mars 2007 (de six mois à un an) : 3378 (19,8 %) ;
- Blogs créés entre le 31 mars et le 1er octobre 2007 : (six mois) : 8602  (50.5 %) ;
- Blogs créés depuis le 1er octobre : 2082 (12.2 %).

A titre indicatif, on compte en gros 79 % de blogs dont les auteurs se présentent comme des filles et donc 21 % de blogs dont les auteurs se présentent comme des garçons. Mais il y en a qui trichent !

Les gains et les pertes :

a) 2082 blogs nouveaux, créés depuis le 1er octobre, figurent au répertoire ;
b) 2931 blogs créés avant le 1er octobre 2007 ont disparu de la circulation ;
c) C'est parmi les blogs créés entre le 31 mars et le 1er octobre que la diminution est la plus forte : 2255, soit 20,8% de la population considérée ;
d) Parmi les blogs créés entre le 1er octobre 2006 et le 30 mars 2007, la diminution est de 444 unités, soit 11.6 % de la population considérée ;
e) Parmi les blogs créés avant le 1er octobre 2006 : 232 disparus, soit 7.2 %

Prochain bilan, le 1er décembre.


Lundi 29 octobre 2007 à 23:39


Il faut s'y faire : on n'est jamais calé pile dans ce qu'on a l'air d'être, et tout aussi peu dans ce que l'on pense être. On est toujours privé de la part de soi la plus essentielle.  Celui qui dit « moi » et qui s'en explique n'est  jamais le sujet véritable de nos actes réussis ou manqués, de nos pensées rassises ou folles. Ce sujet, le « vrai », est toujours désajusté, décollé de toutes ses manifestations visibles ou conscientes, autre et ailleurs. Et ça laisse des vides un peu partout, des zones d'ombre, comme des placards avec ou sans cadavres, des tiroirs emplis de lettres jamais ouvertes.

En réalité, pas très pertinentes ces idées de plein et de vide, d'ombre et de lumière, et et encore moins celle d'intérieur et d'extérieur.

Je me rappelle avoir lu quelque part une étrange conception qui comparait le corps à un gant retourné. L'extérieur serait donc l'intérieur et réciproquement. Le véritable point de contact avec l'extérieur, le lieu réel des échanges du corps et de la réalité qui l'enveloppe serait alors la muqueuse gastrique, la paroi du tube digestif. La peau, au contraire, serait la véritable scène du « monde intérieur », le lieu d'élaboration de ce moi si incertain.
Je ne sais pas exactement ce que vaut cette conception, jusqu'à quel point on peut la suivre. Mais elle a le mérite de nous obliger – ne serait-ce que par jeu - à changer complètement notre dispositif de pensée.

Inutile d'aller chercher les mystères de l'âme avec un scalpel dans les profondeurs du corps, dans la matière, dans le réel : l'âme n'est pas chose, mais signe ; signe, et même pas encore sens : le signe fait le beau quand le sens échappe encore.
Corps, comportement,  élans affectifs, angoisse ou euphorie, soif de vivre ou fascination du néant, rien ne sert de les expliquer, d'en justifier l'existence par on ne sait quelles causes matérielles ; il faut apprendre à les lire.



Dimanche 28 octobre 2007 à 23:40


On croit parfois – à tort - qu'une photographie nous livre un fragment de réel.

Or elle n'est jamais qu'une image.
Je ne vous rapporte donc pas des paysages, des fleurs, des nuages ou des montagnes, mais des images, seulement des images. Au moment où vous les trouvez sous vos yeux, elles ont définitivement rompu avec le réel dont elles procèdent lointainement. En vous rendant sur les lieux où elles ont été prises vous auriez toutes les peines du monde à les retrouver autour de vous, à la surface des choses.

Quelques images, donc, à base de feuilles d'automne, de soir qui tombe, de fond de casserole, de feu de bois, de coucher de soleil.



















































































































Jeudi 18 octobre 2007 à 22:37

Demain, je m'en vais





loin d'internet
pour une semaine.


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