Toujours la même histoire !
Blogs figurant au répertoire :
30 août 07 : 19357
30 sept. : 17859
31 oct. : 17037
1er déc. : 16063
6 janv. 08 : 15039
31 janv. : 14433
1er mars : 13775
31 mars : 13288
Blogs créés depuis le 1er mars : 1262
Blogs disparus depuis le 1er mars : 1749
Ce qui fait au total 487 blogs en moins.
Ne nous affolons pas. Il n'y a aucune raison pour que Cowblog s'éteigne faute de blogueurs. (Je redouterais plutôt la lassitude des principaux animateurs.)
Apparemment, toutes les plates-formes de blogs subissent une évolution similaire:
- fin l'engouement pour un type de site personnel dont les possibilités et les limites sont aujourd'hui connues de tous;
- division de la population des blogueurs en deux groupes bien distincts : les éphémères et les persévérants.
Les premiers, très nombreux, s'éclipsent vite; les seconds, minoritaires, restent fortement attachés à une forme d'expression qui leur convient et qu'ils maîtrisent. Ils tiennent aussi - et peut-être surtout - à conserver leur place dans un réseau d'amis qui comptent pour eux. Si leur blog cesse de leur plaire, ils l'abandonnent mais ne tardent pas à en créer un nouveau plus conforme à leurs vues.
Cette division existe depuis le début, mais il a fallu que passe un certain temps pour qu'elle devienne manifeste.
Lundi 31 mars 2008 à 23:36
Samedi 29 mars 2008 à 0:04
Sur France, y en a qui disent que chez nous ce qu'on parle, c'est pas une langue. Non mais tu te rends compte ?
Même pas vrai, ce mensonge !
Avec eux, c'est toujours la même quinquerne.
Ils ne chantent que des gandoises.
Ça leur fait plaisir de nous dévousoyer.
Charrette de fend-l'air !
Y a qu'à les envoyer aux pives !
On verra ça voir.
Comme que comme, y en a point comme nous !
Qu'est-ce que t'as fait tous ces jours qu'on t'a pas vu ?
J'étais au chalet. Ils m'ont meulé pour que j'y monte alors je suis monté. Mais ça m'a droit fait chier la caque. On a eu une sacrée rebuse. Ah cette cramine ! En plus, il nous est arrivé dessus une enchâtelée de neige. On aurait eu bien meilleur temps d'attendre un peu avant d'y aller. Je leur avait bien dit que ça voulait donner du mauvais, mais ils comprennent tare pour barre. Avec ça qu'en haut la côte, un de ces modzons qui nous font chevrer a voulu camber un clédar. Il s'est encoublé et a calugé droit dans la dérupe. Tu aurais vu la cupesse ! Heureusement, on l'a retrouvé vigousse dans une gonfle, mais tout en bas du bas. Et ça tombait ! Et ça tombait ! On a dénioté une espèce de quiquageon où on a pu s'acagnarder à la chotte. Oh, pas de quoi faire même un tout petit clopet...
Quand le Jean Rosset est revenu, contre les deux heures, on a voulu sortir, mais c'était une monstre goille tout partout et on a gogé un puissant moment dans la tiaffe. On était trempes en sortant de là et on avait la greulette.
On est rentrés, il faisait bon chaud, on était contents et comme l'Auguste veut tout faire même, on en a profité pour filer au carnotzet. On a rupé des rebibes et une morse de la salée au sucre que la gribiche du syndic avait faite pour son gâtion de bouèbe. Et puis on s'est pris trois décis et puis encore trois décis et puis encore trois décis par après. Alors ce taborniau d'armailli (tous des galaufres, ces Dzodzets !), à force de pintoiller, il s'est pris une caisse, une fédérale, et il a dégobillé sur ses grolles. Il y en avait plein les planelles. Un vrai boiton. Et puis il en quequeuillait ce taguenet. Ça nous a foutu la déguille. Bon il faudra tout ça enlever à la ramassoire et panosser deux fois après.
Vas-y seulement, tu verras le chnabre.
Bon, c'est comme toujours : ça déva et puis après, ça reva.
On croit que pas et puis finalement on est déçu en bien.
Comme que comme, y en a point comme nous !