Mardi 27 février 2007 à 19:44
Cherchez-le et lisez-le, à haute voix si possible ...
.... pour y découvrir les noms de tant d'amis encore inconnus !
Mardi 27 février 2007 à 8:54
Liestal, 25 février, 19h30
Chienbäse
Bouquets enflammés et chariots de feu
Sauvage, sauvage rite tiré chaque année de la boîte à cauchemars.
Les flammes lèchent les visages, les escarbilles trouent les vêtements. On évacue des spectateurs fumants, on éteint les incendies naissants.
Et regardez ce qu'ils font de leurs monuments historiques !
Polis, discrets, ennuyeux toute l'année, ces gens; mais un soir, un seul, deux heures durant, des sauvages !
Jeudi 22 février 2007 à 19:11
Cela fait un sacré moment que j'hésite. Je le fais ? Je ne le fais pas ? Comme je n'aime pas trop casser l'ambiance, j'y ai renoncé jusqu'ici ; mais je n'en peux plus, alors voilà, je le fais.
Je lis beaucoup de blogs. Sur le nombre, malgré un tri assez sévère, il m'en reste beaucoup que j'aime et quelques-uns que j'admire.
Je les aime pour ce qu'ils promettent ou pour ce que d'ores et déjà ils offrent.
Hélas, trop souvent, un beau tempérament poétique, une vraie sensibilité littéraire sont gâchés par une maîtrise un peu faiblarde de "notre belle langue française".
Je ne parle pas ici des fautes d'orthographe, qui ne détériorent pas le texte en profondeur et sont faciles à corriger, mais de ces abominables bourdes de syntaxe ou de vocabulaire qui vous torpillent tout un article.
Que faire ? Ces erreurs, je ne les ai jamais relevées parce que ce serait mesquin et que la critique d'un texte ne doit jamais descendre au-dessous du niveau auquel aspire son auteur, qu'il y parvienne ou non.
Et puis, nous ne sommes pas à l'école.
Pourtant, faire semblant de ne rien voir n'est pas une solution.
Et certains ne considéreraient peut-être pas d'un mauvais oeil que, sans esprit de jugement, dans le seul souci de servir leur projet d'écriture, on précise certaines questions de langue, va savoir !
Alors, ceux qui le souhaitent peuvent me faire signe en glissant ici un petit commentaire. Je leur ferai parvenir mes remarques, par courrier électronique. Pas dans le blog !
Je pourrai aussi de temps en temps me fendre d'un article sur un point de grammaire, histoire de rigoler un peu.
Ah! j'oubliais. Si jamais vous vous demandez ce qui justifie ma prétention à légiférer dans un domaine aussi sensible, je vous répondrai en trois mots, avec la plus grande franchise : rien du tout.