Devant moi, comme un bouclier,
un masque,
plus véritablement moi
que moi-même.
De toute manière,
d'un homme
ou d'une femme,
est-il autre chose
qu'on aperçoive ?
que-vent-emporte
Fou qui trouve assez bleu l'azur
Vendredi 18 septembre 2009 à 10:23
Devant moi, comme un bouclier,
un masque,
plus véritablement moi
que moi-même.
De toute manière,
d'un homme
ou d'une femme,
est-il autre chose
qu'on aperçoive ?
Commentaires
Par pelote le Mercredi 23 septembre 2009 à 6:48
(Oh, des paroles se sont "déroulées" depuis mon dernier passage devant cet article.)
Par le Jeudi 24 septembre 2009 à 18:49
Ce masque, ici sur l'image, semble encadré dans un cénotaphe. Les masques se déchirent, ou brûlent, un jour ou l'autre, le jour de leur chute...
Par le Jeudi 10 juin 2010 à 23:18
Tes mots pleuvent des silences qui font sens. Je ne sais pas comment dire. Ils se posent tout doucement, et entre chaque vers, on entend. Un souffle, une respiration. Et c'est là que se trouve la vérité, dans ce qui n'est pas tout à fait dit. Je trouve.
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