Commentaires
Par maud96 le Mercredi 22 novembre 2006 à 19:16
Rouges, ocres, bruns légers, tout un nuancier ! j'adore ces couleurs d'automne... et les grands arbres qui lâchent aux vents leurs habits fripés...
Par Mercredi 22 novembre 2006 à 20:36
le La rue de la pensée sauvage se trouve géographiquement dans un tout petit village près de Mazamet (la Montagne noire) mais est autrement présente en chacun de nous (du moins j'ose espérer!). J'essaierai de repasser bientôt mais en ce moment j'hiberne :D
Par Jeudi 23 novembre 2006 à 10:07
le Bah tu vois, finalement novembre n'est pas si triste ;)
Par Jeudi 23 novembre 2006 à 16:32
le Oh bah si c'est beau chez toi hein !
Punaise un de ces vents aujourd'hui.
J'aurais pu m'envoler je crois.
Punaise un de ces vents aujourd'hui.
J'aurais pu m'envoler je crois.
Par Jeudi 23 novembre 2006 à 19:58
le tu m'as fait remarquer combien l'automne est beau cette année, les arbres ont gardé leurs feuilles jusqu'à la couverture de rouille, c'est un véritable incendie de couleurs.
Ne viens pas sur mon blog, c'est pas bon pour ton coeur. Le mien a déjà du mal a s'en remettre.
Ne viens pas sur mon blog, c'est pas bon pour ton coeur. Le mien a déjà du mal a s'en remettre.
Par Samedi 25 novembre 2006 à 13:46
le C'est beau.
Par Samedi 25 novembre 2006 à 18:26
le J'attend déjà tes photos de la jolie saison blanche qui s'annonce...
Par Jeudi 9 décembre 2010 à 22:00
le C'était un 21 novembre, pourtant nous attendions encore l'hiver.
Tes photos, je ne sais pourquoi, m'ont souvent l'air de peintures. J'ai toujours aimé la photo, mais sans goût. Ce n'est que depuis que je connais ton blog que je sais ce que veut dire être touchée par une image. Et depuis les tiennes, beaucoup m'ont ébranlée, mais jamais de la même manière.
Quand tu photographies un arbre, l'image garde sa profondeur, sa poésie : les nuances d'émotion qui traversent la nature vive. J'aimerais tellement qu'un jour tu m'apprennes à avoir l'Oeil, le même que toi.
Tes photos, je ne sais pourquoi, m'ont souvent l'air de peintures. J'ai toujours aimé la photo, mais sans goût. Ce n'est que depuis que je connais ton blog que je sais ce que veut dire être touchée par une image. Et depuis les tiennes, beaucoup m'ont ébranlée, mais jamais de la même manière.
Quand tu photographies un arbre, l'image garde sa profondeur, sa poésie : les nuances d'émotion qui traversent la nature vive. J'aimerais tellement qu'un jour tu m'apprennes à avoir l'Oeil, le même que toi.
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