Vendredi 6 avril 2007 à 18:32
Toute représentation du réel impassible, indifférent, familier, véhicule sa part d'angoisse. Tu crois que la photographie vient innocemment du réel à toi, qu'elle se résume à la capture d'un jeu de lumière. Ne vois-tu pas qu'avant tout elle part de toi et révèle l'état de ton regard ?
Lundi 2 avril 2007 à 22:34
Mes livres, je les achète à la librairie du village.
Pour accéder à la poésie, il suffit de traverser la cuisine.