Samedi 24 janvier 2009 à 11:44
Un autre disait : je suis enfermé, enfermé au point d’étouffer, enfermé jusqu’à la nausée, et pourtant, les murs qui m’emprisonnent, si loin que me portent mes pas, je ne puis les atteindre.
Commentaires
Par Dimanche 25 janvier 2009 à 20:51
le Les murs les plus éprouvants sont souvent ceux qui ne sont pas faits de briques mais de peur, bâtis au royaume des ombres humaines. Reste à trouver l'échelle, ce nouage de liens, qui mène au dehors.
Sinon, j'ai adoré le titre.
Sinon, j'ai adoré le titre.
Par Mardi 3 février 2009 à 19:30
le Dans les murs, il y a souvent des fenêtres, des lucarnes, et, ainsi que tu me le dis toi-même, dans une de tes gentilles missives, à regarder en-haut, on voit du ciel bleu et du soleil. Froid vif et soleil brillant vont souvent de pair. Mais il faut lever les yeux...
Par Jeudi 10 juin 2010 à 23:21
le je ne peux que me répéter, mais j'aime, j'aime. Ton écriture est épurée, et d'autant plus percutante. Je veux te lire encore... Il y a 77 pages ! Chouette !
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Tant mieux si c'est un "autre", reste à savoir quel autre. Dis-lui de ma part qu'à trop constater les limites, on étouffe, et que je ne veux pas qu'il étouffe.