Naïves comme un bouquet d'électeurs sarkophiles, les fleurs s'imaginent que le printemps est arrivé.
Elles se lâchent.
Ne savent pas ce qui les attend !
que-vent-emporte
Fou qui trouve assez bleu l'azur
Dimanche 2 mars 2008 à 18:49
Naïves comme un bouquet d'électeurs sarkophiles, les fleurs s'imaginent que le printemps est arrivé.
Elles se lâchent.
Ne savent pas ce qui les attend !
Commentaires
Par le Dimanche 2 mars 2008 à 19:37
EXPDR ! j'aime énormément l'introduction ! Et oui, les couleurs décapent : ça donne le moral.
Par le Dimanche 2 mars 2008 à 19:45
Voilà pourquoi il faut toujours couper les boutons des rosiers avant la saison (l'avortement des fleurs)
Les arbres fleurissent dans ma rue, et en ce qui me concerne ça ne révèle qu'une chose: l'arrivée des allergies.
Les arbres fleurissent dans ma rue, et en ce qui me concerne ça ne révèle qu'une chose: l'arrivée des allergies.
Par le Dimanche 2 mars 2008 à 22:51
Charles Baudelaire Le Spleen de Paris L'étranger
« Qui aimes-tu le mieux, homme énigmatique, dis ? ton père, ta mère, ta sœur ou ton frère ?
- Je n’ai ni père, ni mère, ni sœur, ni frère.
- Tes amis ?
- Vous vous servez là d’une parole dont le sens m’est resté jusqu’à ce jour inconnu.
- Ta patrie ?
- J’ignore sous quelle latitude elle est située.
- La beauté ?
- Je l’aimerais volontiers, déesse et immortelle.
- L’or ?
- Je le hais comme vous haïssez Dieu.
- Eh ! qu’aimes-tu donc, extraordinaire étranger ?
- J’aime les nuages... les nuages qui passent... là-bas... là-bas... les merveilleux nuages ! »
Toi, c'est "J'aime les fleurs, les fleurs qui éclosent, ici, ici, les merveilleuses fleurs !" And you are right !
Merci pour ce bouquet !
« Qui aimes-tu le mieux, homme énigmatique, dis ? ton père, ta mère, ta sœur ou ton frère ?
- Je n’ai ni père, ni mère, ni sœur, ni frère.
- Tes amis ?
- Vous vous servez là d’une parole dont le sens m’est resté jusqu’à ce jour inconnu.
- Ta patrie ?
- J’ignore sous quelle latitude elle est située.
- La beauté ?
- Je l’aimerais volontiers, déesse et immortelle.
- L’or ?
- Je le hais comme vous haïssez Dieu.
- Eh ! qu’aimes-tu donc, extraordinaire étranger ?
- J’aime les nuages... les nuages qui passent... là-bas... là-bas... les merveilleux nuages ! »
Toi, c'est "J'aime les fleurs, les fleurs qui éclosent, ici, ici, les merveilleuses fleurs !" And you are right !
Merci pour ce bouquet !
Par le Mardi 4 mars 2008 à 10:22
Ce qui les attend ? La neige qui est tombée ce matin...
Par le Mercredi 5 mars 2008 à 13:59
Tres belle image...
Par le Samedi 8 mars 2008 à 11:41
Et c'est le gros probleme, car maintenant il fait froid, et maintenant les fleurs vont mourrir... Oh je n'espere pas!
Par le Samedi 8 mars 2008 à 19:31
Que la naïveté peut être belle parfois.
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Pas vexée pour autant ^^'
Ca explose les yeux, les couleurs, chez toi ! J'adore !